«Rafale»: Les Raisons De L’échec Au Brésil

Peut-être aussi le plus simple à fabriquer, même s’il intègre des composants d’origine nord-américaine, vol en avion de chasse car il y a bien une dimension industrielle dans cette affaire. Le Brésil veut faire d’Embraer son champion national de la défense. Le Gripen NG est un avion en cours de développement et Embraer devrait donc se greffer sur le programme suédois en espérant transférer tout ou partie de la production au Brésil. Seule ombre au tableau, l’armée de l’Air brésilienne va rapidement retirer ses Mirage 2000 achetés d’occasion à la France. Avant que le Gripen NG arrive en escadron, il va donc s’écouler quelques années où la défense aérienne du pays ne sera pas optimale. Cette affaire ne remet pas en cause le partenariat de défense entre la France et le Brésil. Au contraire. Lors de la visite de la présidente Dilma Roussef à Paris en décembre 2012, François Hollande avait fait profil bas autour du dossier Rafale qui avait été initié auprès de son prédécesseur.

En BVR, le Mig-29S doit être un adversaire redoutable, car il a une capacité de tir bicible et la capacité Fox 3 avec l’AA-12. Par contre, la version Mig-29A, la plus ancienne et la plus répandue, est à mon sens trés inférieure au F-16 en combat BVR. L’avionique n’est pas à la hauteur d’un combat moderne, et les missiles Alamo sont trop contraignants dans leur emploi par rapport à l’AMRAAM. J’ai du mal à prendre parti, ce sont mes deux jets préférés (avec le Rafale et le M-2000 bien sûr ). Une trés bonne maniabilité à basse vitesse. Des capacités d’AoA que les commandes de vol du F-16 lui empêchent d’égaler. Voir l’excellent argumentaire de Booly à ce niveau-là. Des capacités assez inouïes à varier sa vitesse, ce qui est trés intéressant pour faire overshooter l’adversaire. Un missile BVR moderne avec l’AA-12, version S seulement. Un senseur IR qui lui permet de travailler de manière totalement autonome à des distances importantes radar éteint. Un pilotage extrêmement simple et sain. C’est l’avantage du fly-by-wire. Un RWR bien meilleur que celui des russes. Globalement, une avionique trés intuitive, au service de la SA du pilote. Une visibilité dans le cockpit pratiquement inégalée. Un emport de carburant plus important que le Mig-29. Le Datalink, non seulement entre l’avion et l’Awacs, mais entre les avions d’une même patrouille. Ce qui permet de travailler radar éteint en profitant des infos de l’Awacs ou d’un autre avion de la patrouille. Avec un équipement AWACS équivalent ou dans un scénario sans AWACS, je pense que le F-16 sera à trés forte partie contre le Mig-29S. Il aura probablement un léger avantage en BVR, mais uniquement grâce à l’ergonomie du cockpit et de l’avionique, le paramètre « portée » demeurant à l’avantage des russes ce qui est loin d’être négligeable. Phoenix, pratiquement tous les missiles russes portent plus loin que leurs équivalents occidentaux. En tout cas sur le papier !

Lors du salon MAKS 2011, les 3 premiers prototypes effectuent des présentations en vol. L’ensemble du domaine de vol n’est pas encore ouvert, mais 84 vols d’essais ont déjà été effectués. Le mur du son est quant à lui franchi le 9 mars 2011. Le salon permet cependant de constater la présence de nervures de renforts sur la voilure des deux appareils, ainsi qu’un parachute anti-vrille sur le T-50-1. Le 21 février 2014, le T-50-2 devient le premier prototype transféré à l’armée de l’air russe pour essais étatiques à Akhtoubinsk. En juin 2014, le prototype T-50-5 est victime d’un incendie de moteur à l’atterrissage. Il peut cependant être remis en état de vol après la récupération d’un certain nombre de composants prévus pour le sixième prototype. L’Inde, qui apporte quant à elle sa connaissance des matériaux composites, prévoit d’acquérir 50 monoplaces et 144 biplaces dans le cadre du programme FGFA (Fifth Generation Fighter Aircraft). La version indienne se différenciera de la version russe par ses dimensions, ses commandes de vol, son radar et ses ailes. Une version navalisée est envisagée à l’horizon 2020 ainsi qu’une version dronisée pour 2018. Le prix unitaire du PAK-FA est estimé entre 70 et 100 millions de dollars. Sukhoï espère en vendre 1000 exemplaires sur 40 ans, non seulement en Russie et en Inde (200 exemplaires chacun) mais aussi 600 exemplaires auprès de ses clients traditionnels au Moyen-Orient, en Amérique du Sud et en Asie. Il pourrait dès lors se poser en redoutable concurrent commercial et militaire, sinon du F-22 au moins du F-35.

« Really, the engineers put in the time and hard work, » Major Chari said. « We have the easy part of seeing if it will do what they thought it would. It was interesting to see the engineers reacting and diagnosing the issues right away, based on our feedback. Capt. Chris Dupin, a 40th FTS member and the weapons system officer for the first flight, said he noticed improved capabilities during the initial flight. He said the radar was able to detect F-16s much farther away than ever before. « The kill chain for anything is the ability to detect, identify, target and engage a threat, » Captain Dupin said. « If we can detect an air target earlier or farther away, that leaves more time and space to complete the rest of the kill chain. Completing the kill chain faster and earlier means we’re better able to gain or maintain airspace superiority. Les fluides hydrauliques du F/A-18 Hornet sont ininflammables et circulent dans deux systèmes totalement isolés, chacun d’eux possédant deux parties indépendantes. Le système permet un arrêt automatique de n’importe quelle partie défaillante. Le cœur du F/A-18 Hornet est son cockpit : la possibilité d’emporter une grande diversité d’armes pourrait perdre son impact si le pilote n’était pas capable de les utiliser efficacement. Les technologies numériques permettent de fournir au pilote plus d’informations que dans les deux cockpits du F-4 et celui de l’A-7 réunis. Tout comme d’autres chasseurs de sa génération, la première source d’information est le HUD (Head Up Display, ou collimateur tête haute). Le HUD affiche la vitesse du vent, l’altitude, la vitesse ascensionnelle, l’angle d’attaque, la direction, la vitesse en Mach, les G, une variété d’informations sur les armes embarquées. Les systèmes de l’avion sont contrôlés grâce aux informations affichées sur trois écrans à tubes cathodiques, gérés à l’aide de vingt boutons poussoirs entourant chacun de ceux-ci. Les avantages d’avoir toutes les informations nécessaires dans le champ de vision immédiat du pilote sont une réduction de la fatigue et une susceptibilité réduite aux vertiges.