Sur les plages du Nord

Les grandes plages du nord de la France offrent un spectacle naturel grandiose et un plaisir incomparable pour les amateurs de promenades en bord de mer. Ces vastes étendues de sable fin et doré s’étendent à perte de vue, invitant les visiteurs à s’évader et à se ressourcer dans un décor unique. Se balader le long de ces plages est une expérience revitalisante qui permet de se connecter avec la nature, de profiter de l’air marin vivifiant et de contempler des paysages à couper le souffle.

Dès les premiers pas sur le sable, on est saisi par la sensation de liberté et d’immensité que procure la vue de ces grandes plages. L’horizon s’étend à l’infini, offrant une impression d’espace et de légèreté. Marcher le long de la côte permet de se libérer du stress quotidien, de respirer profondément et de laisser son esprit vagabonder au rythme des vagues qui viennent caresser le rivage.

La promenade sur les grandes plages du nord de la France est également une véritable invitation à la découverte. Le littoral offre une grande diversité de paysages, avec des falaises escarpées, des dunes de sable majestueuses et des estuaires pittoresques. Chaque pas révèle de nouveaux trésors naturels à admirer et à explorer. On peut observer la faune et la flore locales, contempler les oiseaux marins qui survolent les vagues et chercher des coquillages et des trésors marins échoués sur le rivage.

Le climat vivifiant du nord de la France ajoute une dimension particulière à la promenade sur les grandes plages. L’air marin purifie les poumons et revitalise le corps et l’esprit. La brise marine caresse la peau, apportant une sensation de fraîcheur et de légèreté. Marcher au bord de l’eau permet de ressentir la douceur du sable sous ses pieds, d’entendre le bruit apaisant des vagues qui se brisent sur la plage et de sentir la fraîcheur de l’océan qui chatouille les narines.

Le spectacle visuel offert par les grandes plages du nord de la France est tout simplement enchanteur. Les vastes étendues de sable se mêlent harmonieusement avec l’horizon bleu de la mer, créant un tableau naturel d’une beauté saisissante. Les couleurs douces et apaisantes du ciel, de l’eau et du sable se fondent dans une palette harmonieuse qui émerveille les yeux. Les levers et les couchers de soleil sur les plages du nord de la France sont particulièrement spectaculaires, offrant un spectacle de couleurs éclatantes qui embrasent l’horizon.

La promenade sur les grandes plages du nord de la France offre également une pause bienvenue dans le tumulte de la vie quotidienne. C’est une occasion de se détendre, de prendre du temps pour soi et de se ressourcer en pleine nature. Les plages du nord de la France sont souvent moins fréquentées que celles du sud, offrant ainsi plus d’intimité et de tranquillité pour profiter pleinement du calme et de la quiétude des lieux.

En plus de l’expérience sensorielle et de la détente qu’elle procure, la promenade sur les grandes plages du nord de la France permet également de découvrir et d’apprécier la richesse de la culture locale. Les villes côtières regorgent de charme et d’histoire, avec leurs petits ports de pêche pittoresques, leurs maisons traditionnelles et leurs restaurants de fruits de mer délicieux. C’est l’occasion idéale de déguster des spécialités locales et d’apprécier la convivialité des habitants de la région.

En conclusion, se balader sur les grandes plages du nord de la France est une expérience qui émerveille les sens et nourrit l’âme. C’est une invitation à l’évasion, à la découverte et à la détente. Que ce soit pour profiter des paysages naturels époustouflants, se ressourcer en pleine nature ou simplement se détendre au rythme des vagues, une promenade sur les grandes plages du nord de la France offre un plaisir inégalable qui restera gravé dans les souvenirs. C’est une expérience à vivre pour goûter pleinement au bonheur simple et authentique que procure la nature en toute sa splendeur.

Air Jordan : un design iconique qui transcende les tendances

Dans le monde dynamique de la chaussure, un certain nombre de marques ont réussi à atteindre la popularité durable et inégalée des baskets Air Jordan. Depuis leur création dans les années 1980, ces célèbres chaussures ont captivé les amateurs de baskets et établi une tendance culturelle qui transcende les frontières des activités sportives et des tendances. Le mélange inégalé d’histoire, d’innovation et d’héritage de la marque a contribué à l’attrait durable des baskets Air Jordan sur le marché.

Les baskets Air Jordan occupent une place particulière dans l’évolution des chaussures de sport. Produites en collaboration avec la légende du hockey Michael Jordan, ces chaussures ont révolutionné la conception des chaussures de football. Grâce à leur technologie de pointe, à leurs performances supérieures et à leur style unique, les chaussures Air Jordan ont ouvert la voie à une nouvelle ère de chaussures et de bottes de sport. Cet esprit pionnier, associé au succès et au charisme de Michael Jordan, a créé un attrait unique qui continue d’être perçu par les acheteurs aujourd’hui.

Les chaussures Air Jordan sont immédiatement reconnaissables grâce à leurs éléments de design emblématiques. Du célèbre logo « Jumpman » aux lignes épurées et aux couleurs audacieuses, chaque chaussure Air Jordan dégage un sentiment d’exclusivité et de style. L’engagement de la marque à innover et à repousser les frontières a donné naissance à de nombreux modèles révolutionnaires qui sont devenus des objets de collection très convoités. L’héritage de la marque et l’association avec la profession de basketteur inégalée de Michael Jordan ont créé une expérience émotionnelle chez les fans, élevant les Air Jordan au-delà de simples chaussures et les transformant en symboles sociétaux.

L’un des facteurs clés qui alimentent la destination des baskets Oxygen Jordan est l’édition limitée. Jordan Brand limite tactiquement la disponibilité de modèles et de coloris spécifiques, créant ainsi une aura d’exclusivité et de rareté. Cette rareté, en plus de la forte demande, a donné naissance à une culture de la sneaker très vivante, où les passionnés attendent avec impatience chaque nouveau lancement, s’engageant dans des stratégies compliquées pour s’en procurer une paire. La nature limitée des Air Jordan a suscité un sentiment de collection, ce qui a fait grimper la désirabilité et la valeur de revente de ces chaussures.

Les baskets Air Jordan ont transcendé leurs origines athlétiques et imprégné les traditions populaires, devenant un élément fondamental de la mode et du streetwear. Les superstars, les musiciens et les athlètes portent souvent des Air Jordan, affichant leur mode et s’affiliant à l’héritage de la marque. Les chaussures sont apparues dans des films, des clips vidéo et divers programmes médiatiques, renforçant ainsi leur notoriété. Cette intégration dans le domaine plus large de la tradition populaire a élargi l’attrait des baskets Atmosphere Jordan, attirant une large base de consommateurs au-delà des amateurs de sport traditionnels.

Pour maintenir son attrait sur le marché, la marque Jordan repousse constamment les limites du progrès. Des avancées en matière de technologie de réduction des chocs à l’utilisation de matériaux de qualité supérieure, les Jordans Oxygen offrent une aisance, un confort et des performances inégalés. En outre, les collaborations avec des créateurs renommés et des personnalités importantes du monde de la mode et de l’art ont donné lieu à des modèles restreints qui fusionnent la culture de la sneaker avec l’esthétique du good-stop. Ces collaborations s’inscrivent dans l’esprit des tendances contemporaines, ajoutant une nouvelle dimension à l’attrait d’Air Jordan.

L’attrait des baskets Air Jordan disponibles sur le marché peut être lié à une multitude d’aspects. L’esprit pionnier de la marque, son style emblématique et son association avec Michael Jordan ont créé un héritage durable qui trouve un écho auprès des consommateurs. Les éditions limitées et la culture de la sneaker qui entoure les Air Jordan contribuent à leur exclusivité et à leur désirabilité. En outre, leur intégration dans la culture de la chaussure et leur développement continu garantissent que les chaussures Oxygen Jordan restent la référence en matière de mode et de chaussures de sport. Tant que l’esprit d’innovation et l’attrait de l’exclusivité persisteront, les chaussures Air Jordan continueront d’intriguer le marché, consolidant leur statut d’icônes culturelles.

Les avions de chasse et les ondes de choc

Les avions militaires qui franchissent l’obstacle sonore sont un phénomène qui fascine les scientifiques et les ingénieurs depuis des décennies. L’obstacle sonore, également connu sous le nom de « barrière sonique », est une expression utilisée pour décrire la transition entre les vitesses subsoniques et supersoniques. Le terme a été inventé dans les années 1940 lorsque les pilotes d’avions militaires ont commencé à ressentir des effets aérodynamiques inattendus parce qu’ils s’approchaient de la vitesse du bruit. Dans cet article, nous aborderons les aspects scientifiques de l’obstacle sonore et la manière dont les avions de l’armée sont créés pour le franchir.

La vitesse du son est d’environ 343 mètres par seconde (ou 1 235 kilomètres par heure) dans l’air au niveau de la mer et à 20 degrés Celsius. Lorsqu’un objet physique se déplace à une vitesse équivalente ou supérieure à la vitesse du son, il crée une onde de choc devant lui. C’est cet influx de choc qui est à l’origine du puissant « bang sonique » que l’on observe au sol lorsqu’un avion franchit le mur antibruit.

L’onde de choc est créée par la compression des substances de l’air devant le sujet. Lorsque le sujet se déplace de plus en plus rapidement, l’air qui le regarde est de plus en plus comprimé, ce qui produit une onde de surprise plus importante. Lorsque l’objet atteint la vitesse du son, l’onde de choc devient un cône constant d’atmosphère comprimée qui s’étend derrière l’objet. Ce cône d’air comprimé est à l’origine du bang sonique. Les avions militaires conçus pour briser le bouclier sonore sont dotés de capacités spécifiques qui leur permettent d’atteindre des vitesses supersoniques tout en restant stables et sûrs. Cet objectif est certainement atteint grâce à une combinaison d’aspects, notamment le modèle de l’avion, la conception de ses moteurs et ses performances aérodynamiques globales.

Pour atteindre des vitesses supersoniques, les avions militaires ont besoin de moteurs efficaces qui génèrent une poussée suffisante pour vaincre la traînée et les autres forces aérodynamiques. Nombre de ces avions sont équipés de postcombusteurs, Grumman X 29 qui injectent de l’énergie supplémentaire dans l’échappement du moteur afin d’augmenter sa poussée et de lui permettre d’atteindre rapidement des vitesses supersoniques.

En outre, la forme et la conception de l’avion sont soigneusement étudiées pour garantir son équilibre et sa maniabilité à des vitesses considérables. Par exemple, les avions conçus pour franchir le bouclier acoustique sont souvent dotés d’ailes repoussées vers l’arrière, ce qui réduit la traînée et augmente la portance. La forme de l’avion est également conçue pour réduire les effets des ondes de choc et d’autres causes aérodynamiques susceptibles de provoquer une instabilité à grande vitesse. Les ailes sont l’une des principales caractéristiques de conception et de style des avions de l’armée de terre qui leur permettent de franchir le mur du son. Ces avions sont le plus souvent dotés d’ailes en flèche, qui contribuent à réduire la traînée et à augmenter la portance à grande vitesse. Les ailes peuvent également être conçues pour être fines et légères, ce qui réduit le poids de l’avion et lui permet d’aller plus vite.

Les moteurs constituent une autre caractéristique stylistique importante des avions militaires qui franchissent le mur du bruit. Ces avions sont normalement équipés de postcombusteurs, c’est-à-dire de dispositifs qui injectent du gaz dans le flux d’échappement du moteur afin d’augmenter la poussée. Cela permet à l’avion d’atteindre plus rapidement des vitesses supersoniques et de les maintenir plus longtemps.

Les avions des forces armées qui franchissent le mur du bruit sont le fruit d’un travail remarquable de conception et de technologie. Ces avions sont conçus pour être rapides, stables et sûrs à des vitesses élevées, et ils sont équipés de moteurs puissants et de caractéristiques aérodynamiques qui leur permettent de franchir le mur du bruit sans effort. Au fur et à mesure que la technologie s’améliore, il est probable que nous verrons des avions militaires plus avancés, capables de battre de nouveaux records de vitesse et de repousser les limites du possible.

La fin des dinosaures

Un malentendu communément décrit dans les livres populaires et les médias de masse est le fait que tous les dinosaures se sont éteints en même temps – et apparemment très brusquement – à la fin de la période du Crétacé, 66 000 dans le passé. Cela peut ne pas être tout à fait approprié, et pas seulement parce que les oiseaux sont vraiment une branche vivante de la lignée des dinosaures. Les meilleurs enregistrements, qui peuvent provenir presque exclusivement d’Amérique du Nord, démontrent que les dinosaures étaient déjà en déclin dans la partie la plus récente du Crétacé. Les causes de cette diminution, ainsi que les perspectives d’autres organisations à l’époque, sont compliquées et difficiles à caractériser pour un approvisionnement individuel. Pour être en mesure de saisir pleinement l’extinction, il est en fait essentiel de connaître les archives fossiles de base des dinosaures. Au cours des 160 milliards d’années de la période mésozoïque (252,2 millions à 66 000 dans le passé) où les dinosaures sont reconnus, il y a eu des modifications continues dans les communautés de dinosaures. Différents types ont évolué rapidement et ont été rapidement remplacés par d’autres personnes tout au long du Mésozoïque; il est rare qu’un type particulier de dinosaure ait réussi à traverser une formation géologique dans les suivantes. Les preuves fossiles démontrent une faune modérément riche de platosaures et d’autres prosauropodes, ornithopodes primitifs et théropodes au cours de l’époque du Trias supérieur (237 millions à 201,3 zillions dans le passé). La majorité de ces types de dinosaures seront également représentés dans les strates du début de l’époque jurassique (201,3 zillions à 174,1 zillions dans le passé), mais à la suite d’un centre jurassique mal identifié, la faune du Jurassique retardé (163,5 millions à 145 mille il y a quelques années) était totalement différent. À cette époque, les sauropodes, les ornithopodes plus complexes, les stégosaures et de nombreux théropodes différents prédominaient. Le Crétacé initial (il y a 145 000 à 100,5 milliards d’années) a ensuite couvert plusieurs sauropodes (bien qu’ils soient tous de nouvelles formes), quelques restes stégosaures, de nouveaux types de théropodes et d’ornithopodes, et quelques-uns des ankylosaures initialement bien connus. Par le passé dû au Crétacé (100,5 millions à 66 000 ans), les sauropodes, qui ont disparu à travers les continents supérieurs à travers la majorité du début et du milieu du Crétacé, avaient réintroduit les continents supérieurs à travers le sud, et des ornithopodes sophistiqués ( becs de canard) devaient être les navigateurs dominants. Une variété de nouveaux théropodes de toute taille avait été largement répandue; les stégosaures n’existaient plus; et aussi les ankylosaures avaient été représentés par une sélection de nouvelles formes qui ont été notables en Amérique du Nord et dans certaines régions d’Asie. De nouveaux groupes de dinosaures, les pachycéphalosaures et les cératopsiens, sont apparus en Asie et ont efficacement colonisé le Canada et l’Amérique. La photo entière est donc assez claire: tout au long du Mésozoïque, il y a clairement eu une disparition et un renouvellement continus du mode de vie des dinosaures. Vous devez vous rappeler que l’extinction est en fait un événement régulier et répandu. Les extinctions en vrac surgissent fréquemment dans votre tête une fois que l’expression extinction est décrite, mais les extinctions typiques des antécédents qui se produisent à travers le temps géologique prennent probablement en compte la plupart des pertes de biodiversité. Tout comme les nouvelles variétés se séparent constamment des espèces actuelles, les espèces existantes disparaissent constamment. Le taux de spéciation de l’équipe devrait, dans l’ensemble, dépasser le niveau d’extinction à la fin, sinon ce groupe s’éteindra. Une brève histoire de la vie quotidienne des animaux et des herbes est remplie de successions car les formes précoces sont remplacées par des types nouveaux et souvent plus complexes. Dans la plupart des cas, la nature mère stratifiée (stratigraphique) de l’histoire des fossiles offre trop peu d’informations pour montrer si les formes obsolètes ont été déplacées ou non par les nouveaux successeurs (par les résultats de la concurrence, de la prédation ou d’autres processus environnementaux) ou si les types les plus récents viennent de s’étendre aux catégories de créneaux environnementaux de la population en déclin. Comme le document fossile est épisodique plutôt que stable, il est extrêmement idéal pour poser de nombreux types de questions, mais il est difficile d’indiquer avec précision combien de temps la plupart des types ou genres de dinosaures ont réellement existé. De plus, étant donné que la connaissance des nombreux groupes de dinosaures est quelque peu incomplète, la longueur de certains dinosaures ne peut être mesurée que grossièrement, typiquement par des bordures stratigraphiques et des événements présumés «premier» et «dernier». La seconde coïncide généralement avec les limites des groupes d’âge géologiques; en fait, l’absence de types d’existence spécifiques a traditionnellement décrit la plupart des limites géologiques à partir du moment où les données géologiques ont été rassemblées et évaluées au XVIIIe siècle tardif. Les «moments» d’extinction apparemment plus élevés chez les dinosaures se sont produits à deux endroits à l’intérieur du Trias (environ 221 millions et 210 millions d’années), peut-être après le Jurassique (145 millions dans le passé), et, bien sûr, à la fin du Crétacé (66 milliards d’années). Incontestablement, il y a eu des pics d’extinction moindres à d’autres moments entre les deux, mais les informations terrestres sont médiocres pour la plupart de la planète au centre du Trias, du Juridique moyen et du Crétacé moyen.

Quelles sanctions pour la Russie

Les causes russes ont envahi l’Ukraine mercredi 24 février au petit matin. En réponse, les États-Unis, l’Union européenne et d’autres pays ont imposé une série de sanctions sans précédent à la Russie. Les services militaires russes semblent avoir rencontré une résistance plus forte que prévu, faisant échouer la solution de Poutine d’un triomphe rapide et décisif sur l’Ukraine. Les services militaires et l’escalade économique sont envisageables. Vous trouverez ci-dessous une analyse des sanctions actuelles, de leurs effets économiques pour la Russie et le reste du monde, ainsi que des possibilités de plans associés et des préoccupations pour les États-Unis. Q1 : Comment les pays ont-ils réagi économiquement à l’invasion de la Russie ? R1 : Le 21 février, Poutine a déplacé des troupes de « maintien de la paix » dans la région de Donbas en Ukraine et a reconnu l’indépendance de deux républiques dans la région. L’administration Biden a rapidement annoncé une première tranche de sanctions, sur le modèle de celles mises en œuvre après l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Il s’agissait notamment d’interdire les investissements, les exportations et les importations en provenance de vos régions séparatistes, en plus de bloquer les sanctions imposées à certaines personnes de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Louhansk. Le 24 février, les États-Unis ont déclaré un deuxième train de sanctions, plus puissant, en réponse à l’invasion totale de l’Ukraine par la Russie. Appliquées « en tandem avec les partenaires et les alliés », ces sanctions visent les hauts fonctionnaires européens et leurs ménages, les entreprises possédant des conditions et le secteur monétaire de la Russie, notamment ses deux plus grandes institutions bancaires commerciales. Le paquet de mesures prévoit une extension de la règle sur les articles directs étrangers (principe FDP), qui a déjà été utilisée pour mettre en faillite l’entreprise de télécommunications chinoise Huawei. La règle FDP fait obstacle à l’exportation de tout article dérivé d’une technologie ou d’un logiciel américain, quel que soit son pays de fabrication. Elle offre la possibilité de rejeter le climat économique européen et les utilisateurs de services militaires des technologies critiques, telles que les semi-conducteurs. Les actions flagrantes de la Russie ont suscité une réaction unie de la part des compagnons des États-Unis dans le monde entier. L’Union européenne, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie, le Japon, la Corée du Sud et Taïwan ont déclaré leurs propres sanctions et contrôles des exportations. Une exception significative à cette liste de contrôle est Israël. Malgré son alliance étroite avec l’Amérique et ses bons rapports avec l’Ukraine, le gouvernement Bennett s’est montré circonspect dans ses critiques à l’égard de Moscou, craignant de mettre en péril la coordination de la protection entre la Fédération de Russie et Israël en Syrie. La réponse économique de loin la plus sévère et la plus coordonnée est intervenue pendant le week-end des 26 et 27 février. Cette troisième tranche de sanctions a exclu certaines institutions bancaires européennes de SWIFT (le système de messagerie monétaire), a sanctionné la banque principale russe et a annoncé la création d’un groupe de travail multilatéral chargé d’identifier et de geler les ressources des hauts responsables du Kremlin, comme Poutine. Les mesures relatives à SWIFT et à la principale institution financière étaient jusqu’alors présumées ne plus être d’actualité en raison de la douleur économique qu’elles pourraient infliger aux pays européens. La Commission européenne semble avoir pris la tête du mouvement en faveur de sanctions plus sévères, l’Allemagne et l’Italie ayant réduit leur opposition le samedi 26 février. Si les économies avancées ont déjà été de plus en plus alignées dans leur réponse, certaines économies de marché en croissance ont été plus réticentes à condamner la Russie. La volaille, qui importe une autre partie de son gaz naturel de Russie, s’est montrée réticente à appliquer des sanctions mais pourrait commencer à empêcher certains navires de la marine européenne d’entrer dans la mer Noire. Même si le Brésil a voté le 25 février en faveur de votre résolution de l’ONU « déplorant » l’intrusion russe, le président Bolsanaro a déclaré que le Brésil resterait naturel dans le conflit. L’Inde, utilisant ses liens de longue date avec la Russie, a cherché à se tailler une place naturelle. Plus important encore, Pékin a souligné l’importance de « respecter… l’intégrité territoriale », tout en reconnaissant « les véritables préoccupations de la Russie en matière de sécurité ». Q2 : Comment ces sanctions se comparent-elles aux tentatives précédentes ? A2 : Les sanctions à l’encontre de la Fédération de Russie ont quelques précédents récents, mais aucune ne vise un climat économique aussi grand ou important pour les marchés énergétiques mondiaux. L’Iran a été retiré de SWIFT à deux reprises, d’abord en 2012, puis en 2018, après que la direction de Trump se soit retirée de l’accord sur le nucléaire iranien. Les banques nord-coréennes ont été exclues en 2017 après qu’il a été découvert qu’elles utilisaient le programme de messagerie pour contourner les sanctions. De même, les États-Unis ont déjà sanctionné les principales banques d’Iran, de Corée du Nord, de Syrie et du Venezuela. Les États-Unis n’ont pas encore mis en œuvre le principe du PLF dans un style aussi large, en se concentrant sur les utilisateurs des services militaires et le climat économique d’une nation entière plutôt que de choisir des entreprises. Q3 : Quelles sont les implications financières pour la fédération russe ? A3 : Les sanctions imposeront des dépenses énormes à l’économie de la Russie, réussissant à les réduire de nouveau du capital international, activant une crise monétaire, une situation financière potentielle, avec son choc financier le plus sévère parce que la crise de la dette financière de 1998. L’institution financière centrale de la Fédération de Russie (CBR) a développé ses réserves établies à 630 milliards de dollars récemment, soit le double des importations de biens de la Russie et plus d’un autre du PIB de la Russie l’année dernière. Nombreux sont ceux qui ont appelé ces réserves suffisantes la « forteresse Russie ». Les sanctions ont démoli les murs de la forteresse en limitant sévèrement la capacité de la CBR à traiter les principales devises étrangères internationales et en coupant les banques russes de SWIFT et des transactions spécifiques. Les sanctions ont réussi à rendre inutilisables la plupart des fournitures de la CBR en interdisant les transactions dans ces devises étrangères. Au 2 mars, le rouble européen avait chuté de plus de 30 % par rapport à l’argent avant les sanctions. Le 28 février, la CBR a doublé son taux d’intérêt important pour le porter à 20 % afin de stabiliser le taux de change et a imposé un contrôle des fonds. Les banques européennes privées de comptes correspondants à l’étranger ou confrontées à des statuts de blocage pourraient se retrouver à court d’aide en l’absence de conditions. Les Russes seraient en train de se cotiser pour retirer l’accumulation des banques. Au 2 mars, la bourse européenne était fermée à cause de Fri, mais des mandataires étrangers ont suggéré que les titres européens avaient perdu plus de la moitié de leur valeur depuis l’invasion. Moody’s estime que le PIB de la Russie pourrait se contracter de 8 % cette saison, même si ces estimations sont particulièrement incertaines aujourd’hui. En soi, cela ne peut pas avoir d’impact significatif sur l’économie mondiale, car l’économie russe représente moins de 2 % du PIB mondial.

Iran – USA: le choc du pétrole

Une grande partie continue d’être constituée de l’autonomie énergétique des États américains et de la façon dont cette diminution du contact des États-Unis avec l’Iran, utilisant les installations pétrolières, est une voie de représailles. La vérité que les prix du gaz américain ont augmenté juste après une menace reconnue ou réelle pour les produits de Center Eastern démontre que les États-Unis sont loin d’être découplés de vos revendications du Golfe. Deux nouveaux articles, l’un en particulier chez Bloomberg, l’autre chez OilPrice, expliquent comment les États-Unis dépendent néanmoins de l’huile essentielle du Centre-Est. Le scénario OilPrice explique également comment l’Iran et ses alliés ont de nombreuses autres cibles du Centre-Est pour les missiles et les cyberattaques, comme la structure de l’eau et le dessalement et les centrales énergétiques. L’illusion d’une grande partie du commentaire sur la puissance américaine est d’associer en tant qu’exportateur net d’électricité à la liberté énergétique. Si vous envisagez alternativement les mouvements bruts, les États-Unis continuent de dépendre du pétrole du Moyen-Orient, mais pas autant qu’auparavant, et ce scénario ne changera pas rapidement. L’histoire de Bloomberg par Julian Lee ne peut pas faire de fragments d’os sur sa place: Trump est incorrect. Les États-Unis auront besoin d’huiles de section médiane Est. Une observation importante est le fait que l’huile essentielle n’est pas entièrement fongible. Les États-Unis sont un gros acheteur de brut léger et assez sucré qui est certainement bien conçu pour être raffiné en carburant. Cela vient d’Arabie saoudite et d’Irak (si leurs infrastructures pétrolières étaient en meilleur état). Même si les importations américaines de brut du Centre-Est ont chuté en raison de l’augmentation du pétrole de schiste et ne représentent désormais que 5% du pétrole expédié par le détroit d’Ormuz, produisant également aux États-Unis l’importateur n ° 5 de cette huile essentielle, il s’agit d’une perception erronée. à considérer que les États-Unis n’ont pas besoin d’huile essentielle du Centre-Est: Lee à Bloomberg souligne également que les raffineurs de Gulf Coastline, qui ont ajusté leurs procédures à la méthode du brut lourd et mauvais (pensez au Venezuela, mais en plus de l’Iran et d’autres exportateurs du côté oriental de Midsection ex les Saoudiens). Étant donné que 2012 a déjà été la transition vers de l’essence de schiste douce plus légère, mais certains traitent encore des bruts plus lourds. Et ces raffineurs se tournent encore plus que jamais vers le centre-est: et avec le stress qui brûle maintenant avec l’Iran, la vérité que vous trouverez moins de sources pour importer le brut lourd et acide (qui contient des niveaux élevés de soufre) dont le littoral du Golfe que les raffineries soient dépendantes se réconfortent. Les États-Unis ont imposé des sanctions aux exportations de pétrole vénézuélien en janvier 2019 et le Mexique et la Colombie font face à une baisse de la production en raison de l’absence de nouveaux investissements. Pour l’instant, alors que le Canada reste le plus gros fournisseur vers les États-Unis, le centre-est assure la majeure partie du sommeil. En plus de cela, le gaz américain est sensible aux modifications de la valeur du pétrole: peu importe d’où vient l’huile essentielle de votre Moyen-Orient, la quantité provenant de la région a toujours un impact significatif sur les coûts du brut ainsi que ceux du gaz et du gazole. Nulle part ailleurs, le fait n’est beaucoup plus exact qu’aux États-Unis, où la faible imposition des pouvoirs signifie que leurs charges sont beaucoup plus sensibles aux actions sur le brut international.

Guerre moderne: le rôle des avions

J’ai récemment assisté à une grande exposition dans une base aérienne militaire. Elle était consacrée aux avions des services militaires, et plus particulièrement aux avions de chasse. Un avion de combat mma est un avion conçu principalement pour assurer le contrôle d’un espace aérien important en détruisant l’avion ennemi au combat. L’opposition peut être constituée de chasseurs de même capacité ou de bombardiers transportant un armement défensif. Pour ce type de raisons, les chasseurs doivent être capables d’atteindre les meilleures performances globales possibles afin de pouvoir dépasser les chasseurs de l’opposition et les déjouer. Plus important encore, ils doivent être dotés d’un armement spécialisé capable de frapper et de détruire l’avion ennemi.

Les avions de combat MMA ont été décrits par une variété d’étiquettes. Au début de la Première Guerre mondiale, ils étaient utilisés comme avions de reconnaissance pour le repérage de l’artillerie, mais on a rapidement découvert qu’ils pouvaient être armés et se battre entre eux, abattre les bombardiers ennemis et effectuer d’autres tâches stratégiques. Depuis cette période, les chasseurs ont assumé divers rôles de combat spécialisés. Un intercepteur est en fait un chasseur dont le style et l’armement sont les mieux adaptés pour intercepter et battre ou mettre en déroute les chasseurs envahisseurs. Un chasseur de nuit est un avion construit avec un radar sophistiqué et d’autres équipements pour se déplacer en territoire inconnu ou hostile pendant la nuit. Un chasseur de jour est un avion dont le poids et l’espace sont économisés grâce à l’élimination de l’équipement de navigation unique du chasseur de nuit. Le chasseur mma de suprématie environnementale, ou de supériorité aérienne, doit avoir une capacité de longue portée, pour lui permettre de voyager profondément dans le territoire ennemi afin de sortir et d’endommager les chasseurs ennemis. Les chasseurs-bombardiers MMA remplissent le double rôle indiqué par leur nom.

À l’époque des « dogfights » aériens pendant la Première Guerre mondiale, les mitrailleuses étaient synchronisées pour passer à travers l’hélice de l’avion. À la fin de la guerre, des chasseurs comme le Fokker D.VII allemand et le Spad français obtenaient des vitesses de 135 kilomètres (215 km) par heure. La plupart d’entre eux étaient des biplans construits avec des structures en bois et une peau en tissu, comme l’avaient été de nombreux chasseurs réguliers de l’entre-deux-guerres. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les avions de chasse monoplan tout acier ont dépassé des vitesses de 725 km par heure et ont atteint des plafonds de 10 700 à 12 000 m (35 000 à 40 000 pieds). Les chasseurs les plus connus de l’époque étaient les Hurricane et Spitfire britanniques, les Messerschmitt 109 et FW-190 allemands, les P-47 Thunderbolt et P-51 Thunderbolt américains, ainsi que le Zero japonais (AGM Kind Zero). Les capacités des Alliés et de l’Axe ont mis en place des avions à réaction, mais ceux-ci sont devenus fonctionnels trop tard pour affecter l’issue de la guerre.

Pendant la bataille de Corée, les chasseurs à réaction, en particulier le F-86 américain et le MiG-15 soviétique, ont été utilisés à fond. Les F-100 et F-4 américains, le MiG-21 soviétique et le Mirage III français ont été utilisés au Moyen-Orient et au Vietnam dans les années 1960 et 1970. Les chasseurs à réaction supersoniques contemporains peuvent se déplacer à plus de 1 000 kilomètres (1 600 km) par heure. Ils ont des prix de montée rapides, une excellente manœuvrabilité et une grande puissance de feu, combat aérien y compris des missiles atmosphère-atmosphère. Le F-16 américain et le MiG-25 soviétique sont parmi les chasseurs à réaction les plus sophistiqués au monde.

Aux vitesses et altitudes auxquelles ces appareils peuvent évoluer, la question de l’étourdissement et de la destruction de l’avion ennemi devient extrêmement complexe et nécessite toute une série d’appareils numériques, de navigation et de calcul. Un simple chasseur monoplace à hautes performances des années 1980 pourrait peser aussi lourd et être beaucoup plus complexe que les bombardiers multimoteurs de la Seconde Guerre mondiale. Dans de nombreux cas, les fonctions de recherche et de frappe sont totalement automatisées, le rôle du pilote dans le combat se réduisant pratiquement à la surveillance du fonctionnement de l’équipement. En effet, avec les avions de combat modernes à réaction, on est arrivé à un point où les capacités de performance globale de l’appareil dépassent les capacités de l’aviateur humain à le gérer.

La survie dans notre monde effondré

Michel Rosell ramasse une masse de papiers et les divise en deux charges. À gauche, les dépenses : une seule page. À droite, une liasse de caractères de copains et d’amoureux. « Si la pile de caractères augmente plus vite que la pile de dépenses, vous êtes sur la bonne voie », déclare Rosell. « Si c’est l’inverse, vous êtes sur le mauvais moniteur. Ce n’est pas si difficile, la tendance que je propose. »

Nous sommes assis sur une table en bois, sous un plafond fait de rubans de bois tressés, dans la maison de Rosell dans les Cévennes, un ensemble de montagnes dans le sud de la France. Rosell a l’air de quelqu’un qui a mené une révolution pendant cinquante pour cent ans : cheveux blancs indomptés, torse et pieds nus, bas de survêtement sombre et sale. Un Robinson Crusoé battu par les intempéries, toujours aussi enthousiaste pour combattre les cannibales – ou les capitalistes – à 73 ans.

Ils vivent ici, loin de toute rue ou de toute autre habitation, depuis les années 70, peu de temps après être sortis, essoufflés et ensanglantés, de vos révoltes étudiantes de 1968 à Paris. Beaucoup de ses camarades rebelles ont préconisé un retour à une vie moins compliquée, mais peu l’ont appliqué. Il a trouvé un plan isolé dans la région la moins densément peuplée de France et y a construit une maison bioclimatique, c’est-à-dire une maison aux spécifications énergétiques réduites et à l’empreinte environnementale légère.

Il a accumulé l’eau de pluie, fait du compostage, réutilisé son eau potable usée et chauffé sa maison avec du bois de chauffage et des panneaux solaires. Pas pour lui le travail salarié, qu’il qualifie de « cinq jours de prostitution accompagnés de deux temps de réanimation ». Il a préféré considérer que ce dont il avait besoin – sans beaucoup plus – provenait de la nature. Au moment où je passe à la caisse, il nous montre un bassin superficiel rempli d’eau vert électrique, où il cultive la spiruline, une algue riche en protéines : délicieuse, dit-il, avec de l’huile d’olive et une gousse d’ail. Elle complète un régime alimentaire riche en plantes sauvages : 70 espèces en tout, qu’il ramasse dans votre forêt.

Rosell vit actuellement seul. Il n’aura pas confiance en une relation et n’a pas eu d’enfants, déclare-t-il, mais des personnes ont approuvé par le biais. Certains se sont retirés par intérêt, survie et sont restés une fois de plus ; d’autres personnes ont emménagé. Il a éduqué ceux qui étaient intéressés comment vous pouvez rester aussi autonome que possible. De jeunes adultes suffisamment forts pour s’aventurer dans son université de l’écosystème combiné usagé ont construit des surfaces murales à partir de tournesols écrasés et de bouse de vache, des moteurs qui allaient sur des algues, et des matelas de roseaux qui transformaient les eaux usées en eau à boire. C’était résolument expérimental, et cela ne fonctionnait pas constamment. Mais sa stratégie, rejetée comme excentrique par ses contemporains, s’est révélée de plus en plus sensée aux générations effrayées que l’humanité ait endommagé la terre au-delà de toute réparation, puis urgente au nombre croissant de ses compatriotes qui sentent que leur société est au bord de la chute.

La croyance que nous nous dirigeons vers une sorte de situation dévastatrice n’est pas exclusivement française, évidemment. D’importants scientifiques du monde entier en parlent. Des Américains fortunés ont acheté des espaces dans des bunkers à l’épreuve d’Armageddon bien avant Covid-19, et des mouvements militants de protestation environnementale et interpersonnelle se sont déjà levés un peu partout. A l’intérieur des pays européens, néanmoins, une étude de marché publiée en novembre dernier par le thinktank français de gauche, la Fondation Jean Jaurès, a découvert que seule la France bat la France pour le pessimisme sur le long terme. Soixante-dix pour cent des Italiens et 65% des Français ont décidé de déclarer que « la civilisation telle que vous la connaissez peut s’effondrer dans les nombreuses années à venir » ; 56% des Britanniques ont discuté de cette vision apocalyptique – légèrement devant les citoyens américains, à 52% – tandis que les Allemands sont arrivés en dernier avec un sanguin 39%. En 2015, deux Français, Pablo Servigne et Raphaël Stevens, qui se présentent comme des chercheurs indépendants, ont co-publié un essai intitulé Comment tout peut s’effondrer, dans lequel ils ont introduit le mot « collapsologie ». Dans un long entretien que Servigne a accordé à Philosophie magazine cette année, il a décrit qu’au début, leur néologisme n’était qu’une plaisanterie. Mais le concept a dû toucher une corde sensible, car en quelques années, il s’est retrouvé dans le cerveau d’une motion, et cet été, le mot collapsologie est entré dans le dictionnaire français le plus populaire, Le Petit Robert. « Nous avons créé un monstre », a déclaré Servigne à Philosophie.

Le cycle des start-ups

La gouvernance d’entreprise des entreprises privées devient de plus en plus importante compte tenu de l’augmentation du nombre d’entreprises privées et des récents scandales de gouvernance dans ces entreprises. Cette colonne examine la structure du conseil d’administration des startups soutenues par du capital-risque et documente de nouveaux faits sur la taille du conseil d’administration des entreprises privées, la répartition du contrôle et la dynamique de la composition du conseil. Au sein des entreprises, le contrôle du conseil d’administration passe au fil du temps des investisseurs en capital-risque aux entrepreneurs. Les administrateurs indépendants jouent un rôle de « médiation » jusque-là sous-exploré, en servant de médiateurs et en résolvant les différends entre les sociétés de capital-risque et les entrepreneurs.
Il y a un débat politique actif sur le déclin continu des entreprises cotées en bourse et sur l’augmentation du nombre d’entreprises privées. Selon le président de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, Jay Clayton, la réduction du nombre d’entreprises publiques cotées aux États-Unis est un grave problème pour nos marchés et le pays en général » (Clayton 2017).
Compte tenu de cette composition changeante de l’univers des entreprises, il est important de comprendre la gestion et la gouvernance des entreprises privées. Cela est particulièrement pertinent compte tenu des récents scandales liés aux défaillances de la gouvernance d’entreprise chez Theranos, Uber et WeWork.
Un aspect clé de la gouvernance d’entreprise est la composition et l’organisation du conseil d’administration. Le conseil d’administration a le pouvoir décisionnel ultime sur les questions importantes de l’entreprise. Alors que la littérature a exploré la composition des conseils d’administration des entreprises publiques (Adams et al. 2010), nous en savons relativement peu sur les conseils d’administration des entreprises privées. Contrairement au conseil d’administration d’une entreprise publique qui est régi par un vaste ensemble de réglementations, la flexibilité dont dispose le conseil d’administration d’une entreprise privée laisse ouverte la possibilité que sa composition et sa dynamique jouent un rôle relativement plus important dans les résultats de l’entreprise.
L’objectif de notre récent article (Ewens et Malenko 2020) est d’étudier le conseil d’administration des startups soutenu par du capital-risque et son évolution depuis le premier tour de financement jusqu’à la sortie. Nous examinons les déterminants de la composition du conseil d’administration dans les entreprises et dans le temps, la répartition du contrôle sur le conseil et les rôles des administrateurs indépendants, c’est-à-dire des administrateurs qui ne sont ni des représentants des capitaux à risque ni des fondateurs.
Le cadre du capital-risque est un domaine intrigant pour enquêter sur le conseil d’administration parce que les investisseurs jouent un rôle actif dans leurs investissements et que leurs postes au conseil d’administration sont souvent au cœur de l’exercice du pouvoir (Lerner 1995, Kaplan et Stromberg 2003). Cependant, il y a peu de preuves à la fois sur la composition des administrateurs – entrepreneur, capital-risqueur et indépendant – et sur la façon dont l’équilibre des pouvoirs au sein du conseil d’administration change au cours de la vie de la startup.
Pour étudier ces questions, nous construisons un nouvel ensemble de données des conseils d’administration de startups soutenues par du capital-risque en fusionnant deux sources de données : les dépôts de formulaire D sur SEC EDGAR et VentureSource. L’échantillon résultant couvre 7 201 startups sur la période 2002-2017.
La dynamique de la taille et de la composition du conseil d’administration révèle l’évolution du contrôle sur le cycle de vie des startups. Au premier financement, le conseil d’administration moyen compte 3,6 membres et le contrôle du conseil d’administration est le plus souvent attribué aux entrepreneurs/cadres. Au fur et à mesure que la startup grandit et lève des capitaux, elle ajoute à la fois des investisseurs en capital-risque et des administrateurs indépendants. La taille moyenne du conseil d’administration tout au long de la vie d’une entreprise est de 4,4, avec environ 2 sièges détenus par des sociétés de capital-risque, 1,7 par des dirigeants et 0,8 par des administrateurs indépendants.
La composition du conseil et la répartition du contrôle du conseil présentent également une dynamique intéressante au cours des deux dernières décennies. Le contrôle du capital-risque sur les conseils d’administration des startups n’a cessé de diminuer : la fraction des startups dans lesquelles les capitaux-risque contrôlaient la majorité des sièges du conseil d’administration après le deuxième tour de financement était d’environ 60 % pour les startups créées en 2002, mais est tombée à environ 25 % pour les startups originaires en 2013. Non seulement le contrôle du capital-risque, mais même la présence d’investisseurs en capital-risque dans les conseils d’administration des startups ont diminué. Cette tendance s’est accompagnée d’une proportion croissante de conseils d’administration contrôlés par des entrepreneurs.
Enfin, si la présence d’administrateurs indépendants n’est pas imposée par la loi, elle est généralisée : la part des startups ayant un administrateur indépendant à leur quatrième tour de table est de 63 %. De plus, dans 33 % des cas, ni les sociétés de capital-risque ni les entrepreneurs ne contrôlent la majorité des sièges au conseil d’administration, de sorte que chaque fois que ces deux parties sont en désaccord, les administrateurs indépendants jouent un rôle de bris d’égalité et ont donc un pouvoir substantiel sur les décisions du conseil d’administration. Nous appelons cette répartition du contrôle le « contrôle partagé ».
Les administrateurs indépendants dans les conseils d’administration des startups sont intéressants pour deux raisons. Premièrement, contrairement aux entreprises publiques, leur présence est volontaire et guidée par la valeur qu’ils peuvent créer et les rôles qu’ils peuvent jouer pour la startup. Deuxièmement, le rôle traditionnel de surveillance des administrateurs indépendants des entreprises publiques est moins important dans les startups soutenues par du capital-risque, car les investisseurs en capital-risque ont à la fois le temps et de puissantes incitations pour surveiller les dirigeants des sociétés de leur portefeuille.
Pour comprendre les tendances des séries chronologiques et la dynamique de la composition du conseil d’administration des startups, nous étudions les facteurs qui déterminent l’attribution du contrôle du conseil et les rôles que jouent les administrateurs indépendants. En particulier, nous examinons le rôle précédemment sous-exploré des administrateurs indépendants, qui a été proposé dans la littérature juridique (Broughman 2010) – le rôle de « médiation ». Ici, les administrateurs indépendants peuvent aider à résoudre (médier) les désaccords entre les investisseurs en capital-risque et les entrepreneurs du conseil d’administration, qui sont susceptibles de survenir pour des décisions impliquant des cycles de financement ultérieurs, des sorties retardées, la vente de l’entreprise ou le remplacement du PDG, et le réponse de l’entreprise aux chocs négatifs.
L’attribution du rôle de briseur d’égalité à des administrateurs indépendants offre un engagement à la fois au capital-risque et à l’entrepreneur de s’abstenir de tout comportement opportuniste dans de telles situations, ce qui peut augmenter l’efficacité ex post et ex ante. Un tel engagement serait impossible à obtenir si l’une des parties exerçait un contrôle total sur le conseil.
Nous prévoyons que la question de savoir si donner un rôle de bris d’égalité aux administrateurs indépendants est optimale dépend du stade du cycle de vie de l’entreprise et de la répartition du pouvoir de négociation entre les entrepreneurs et les sociétés de capital-risque. Premièrement, dans un cycle de vie de démarrage, à mesure que le montant cumulé du capital apporté par les capitaux à risque augmente, le contrôle sur le conseil d’administration devrait de manière optimale passer du contrôle de l’entrepreneur aux premières étapes du financement, au contrôle partagé aux étapes intermédiaires et au contrôle du capital-risque à stades ultérieurs.
C’est exactement le schéma observé dans les données : sous réserve d’un changement de contrôle du conseil d’administration d’une année sur l’autre, le contrôle de l’entrepreneur est susceptible de passer à 70 % du contrôle partagé, et le contrôle partagé est susceptible de passer à 85 % du contrôle du capital-risque . Par exemple, après la première ronde de financement, près de la moitié des entreprises de notre échantillon ont des conseils d’administration contrôlés par des entrepreneurs. Après le deuxième tour de financement, le contrôle partagé et le contrôle du capital-risque sont les deux dispositifs les plus courants. Enfin, dans le quatrième cycle de financement, le contrôle du capital-risque est le plus courant (63 % de l’échantillon), l’entreprise moyenne ayant 53 % des sièges contrôlés par les capitaux-risque.
Deuxièmement, dans toutes les entreprises, à tout moment du cycle de vie du démarrage, nous nous attendons à ce que l’attribution du contrôle passe du contrôle de l’entrepreneur au contrôle partagé, puis au contrôle du capital-risque à mesure que le pouvoir de négociation du capital-risque par rapport à l’entrepreneur augmente. Nous évaluons le pouvoir de négociation relatif du capital-risque avec les participations moyennes des investisseurs en capital-risque dans des entreprises du même secteur au cours de l’année précédente. Cette mesure reflète le pouvoir de négociation des capitaux à risque dans les négociations sur l’évaluation de l’entreprise.
Conformément à la prédiction ci-dessus, il existe une relation négative (positive) monotone entre le contrôle de l’entrepreneur (contrôle du capital-risque) sur le conseil d’administration et le proxy du pouvoir de négociation du capital-risque. Les résultats intra-entreprise et transversaux sont robustes à une définition plus conservatrice des administrateurs indépendants, qui traite les administrateurs ayant des liens professionnels antérieurs avec le capital-risque ou l’entrepreneur comme étant affiliés à cette partie et ne considère que les administrateurs non liés comme véritablement indépendants. .
Enfin, les tendances des séries chronologiques dans la répartition du contrôle du conseil d’administration sont également globalement cohérentes avec les hypothèses concernant le rôle de la médiation. La littérature antérieure a identifié deux changements importants dans l’offre de capital-investissement au cours des dernières décennies. Le premier était la déréglementation des marchés du capital-investissement, qui a permis aux startups et aux fonds privés qui y investissent de lever plus facilement des capitaux (Ewens et Farre-Mensa 2020).
La seconde a été la croissance des investissements directs en capital-investissement par des investisseurs non traditionnels, tels que les fonds souverains, les fonds communs de placement et les fonds spéculatifs (par exemple, Fang et al. 2015, Chernenko et al. 2017). Ces changements ont augmenté l’offre de capitaux privés et, par conséquent, le pouvoir de négociation des fondateurs de startups vis-à-vis des investisseurs en capital-risque.
De plus, les progrès technologiques, tels que l’avènement des services Web d’Amazon en 2006, ont réduit les coûts de démarrage de nouvelles entreprises et ainsi réduit le capital apporté par les capitaux à risque dans les premières étapes (Ewens et al. 2018). La réduction du pouvoir de négociation du capital-risque due à une plus grande disponibilité de capitaux privés et la réduction des investissements en capital-risque prédisent un contrôle moindre du capital-risque et un contrôle accru des entrepreneurs sur le conseil d’administration, ce qui est exactement ce que nous observons dans les données.

Cameroun: un colloque économique

Une grande partie de l’emplacement du Cameroun actuel était gouvernée par de puissantes chefferies juste avant de devenir un nid allemand en 1884 appelé Kamerun. À la suite de la bataille mondiale I, le territoire a été divisé entre la France et le Royaume-Uni en tant que mandat de la Société des Nations à travers le monde. Le Cameroun français est devenu impartial en 1960 en tant que République du Cameroun. Les 12 mois suivants, le pourcentage sud du Cameroun britannique voisin a voté pour fusionner avec toutes les nouvelles terres pour former le gouvernement de la République du Cameroun. En 1972, une nouvelle constitution a échangé la fédération en utilisant un statut unitaire, la République-Unie du Cameroun. Le continent a généralement aimé la stabilité, qui s’est traduite par la création de l’agriculture, des routes et des chemins de fer, ainsi que par une industrie pétrolière. Indépendamment des mouvements progressifs vers une réforme démocratique, le potentiel gouvernemental reste entre les mains du directeur général Paul BIYA. Les capacités du système économique diversifié et structuré du marché camerounais sont le pétrole et le pétrole, le bois, l’aluminium, l’agriculture, l’exploration ainsi que le secteur des services. Le gaz reste le principal atout d’exportation du Cameroun, et même avec la baisse des prix mondiaux du pétrole, il représente néanmoins pratiquement 40% des exportations. Le climat économique du Cameroun connaît des aspects qui affectent fréquemment les pays sous-développés, par exemple la stagnation des flux de trésorerie par habitant, une circulation quelque peu inéquitable des revenus, une assistance civile de premier ordre, une corruption endémique, des inefficacités persistantes d’un grand système para-étatique dans des industries cruciales, et un climat généralement indésirable pour les affaires. Depuis 1990, le gouvernement américain s’est lancé dans diverses applications du FMI et de la Banque mondiale pour stimuler les investissements des entreprises, améliorer les performances de l’agriculture, renforcer le commerce et recapitaliser les banques du pays. Le FMI continuera de faire pression pour des réformes monétaires, notamment une plus grande ouverture de la fourchette de prix, la privatisation et des plans de réduction de la pauvreté. Les entités gouvernementales du Cameroun fournissent des subventions pour l’énergie électrique, les aliments et le gaz qui ont pesé sur le budget fédéral des dépenses et détourné des fonds de l’éducation, des soins médicaux et des affectations du système, car la baisse des prix du gaz a entraîné une baisse des revenus. Le Cameroun consacre des ressources substantielles à un certain nombre de grandes tâches d’infrastructure en cours de construction, comme un port maritime sérieux à Kribi et également le projet hydroélectrique de Lom Pangar. Le secteur de la vitalité du Cameroun continue de se diversifier, démarrant assez récemment une énergie électrique entièrement alimentée à l’essence naturelle créant de la végétation. Le Cameroun continuera à rechercher des achats non familiers pour améliorer ses installations de qualité inférieure, produire du travail et augmenter son empreinte économique, mais son environnement organisationnel défavorable continue de dissuader énormément les dépenses inconnues.